Trêve olympique
La tradition de la "Trêve olympique", ou "Ekecheiria", fut instituée dans la Grèce antique au IXe siècle avant J.-C. par la signature d'un traité entre trois rois - Iphitos d’Élide, Cléosthène de Pisa et Lycurgue de Sparte – afin que les athlètes et spectateurs de ces cités, qui étaient autrement presque constamment en guerre, puissent participer en toute sécurité aux Jeux Olympiques.
Prenant en compte la nouvelle réalité politique dans laquelle s’inscrivent le sport et les Jeux Olympiques, le CIO a décidé de faire revivre la Trêve olympique à l’occasion des Jeux. Son but est de préserver, dans la mesure du possible, les intérêts des athlètes et du sport en général ainsi que d’utiliser le rôle du sport pour promouvoir la paix, le dialogue et la réconciliation.
Depuis 1993, l'Assemblée générale des Nations Unies réitère son soutien au CIO en adoptant tous les deux ans – un an avant chaque édition des Jeux Olympiques – une résolution intitulée "Pour l'édification d'un monde pacifique et meilleur grâce au sport et à l'idéal olympique"
L'Assemblée générale des Nations Unies adopte tous les deux ans – un an avant chaque édition des Jeux Olympiques – une résolution.
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La tradition de la Trêve Olympique fut établie dans la Grèce antique au IXe siècle avant J.-C. Le Comité International Olympique (CIO) a décidé de faire revivre cette tradition dans le but de préserver les intérêts des athlètes et du sport en général.
Conformément aux principes fondamentaux de l’Olympisme, les comités d’organisation des Jeux Olympiques sont amenés à organiser diverses activités avant et pendant les Jeux.
Dans le cadre de la promotion de la paix par le biais du sport et de l’idéal olympique, le Centre International pour la Trêve Olympique (CITO) a été créé en juillet 2000 à l’initiative conjointe du CIO et de la Grèce.