OMEGA perpétue sa tradition en matière d'innovations aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020

Le président du Comité International Olympique (CIO), Thomas Bach, et le directeur général d'OMEGA Timing, Alain Zobrist, ont donné ensemble, à Tokyo, le coup d'envoi des activités d'OMEGA en tant que chronométreur officiel des Jeux.

OMEGA perpétue sa tradition en matière d'innovations aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020
© IOC / Greg Martin

Le partenaire olympique mondial OMEGA s'apprête à dévoiler, à l'occasion des Jeux Olympiques de Tokyo 2020, des dispositifs révolutionnaires pour la détection des mouvements et le positionnement qui vont redéfinir la manière dont les passionnés de sport appréhendent les performances des athlètes.

Forte d'un solide héritage en matière d'innovations dans le domaine du chronométrage olympique, qui remonte aux Jeux Olympiques de 1932 à Los Angeles, la Maison OMEGA proposera ses toutes dernières technologies qui lui permettront de recueillir toute une série de données en temps réel durant les épreuves, offrant ainsi aux athlètes, aux entraîneurs et aux fans des informations plus complètes que jamais.

© IOC / Greg Martin

"Qui dit Jeux Olympiques dit sport, et qui dit sport dit résultats. Sans OMEGA, il n'y aurait pas de résultats", a rappelé le président Thomas Bach. "Nous avons noué des liens d'amitié avec OMEGA et nous attendons toujours avec énormément d'intérêt de découvrir comment cette maison horlogère va une nouvelle fois révolutionner le chronométrage pour l'adapter au monde dans lequel nous vivons. Nous partageons les mêmes intérêts : servir les athlètes, enrichir leur expérience et celle des passionnés de sport sur toute la planète."

En athlétisme par exemple, les concurrents porteront sur leur dossard des capteurs de mouvement qui enverront des données à des récepteurs placés tout autour de la piste.

© IOC / Greg Martin

OMEGA sera ainsi en mesure de transmettre des informations en temps réel, telles que la position des athlètes pendant la course, la vitesse, l'accélération, la décélération et la distance totale parcourue.

En natation, des caméras seront installées autour des bassins pour enregistrer les mouvements de chaque nageur et de chaque nageuse et fournir des données similaires, notamment le nombre de battements de bras et les écarts entre les concurrents.

Des caméras seront également utilisées en volleyball de plage, lesquelles permettront de recueillir des informations détaillées sur la façon dont chaque point a été marqué, que ce soit la vitesse du ballon ou la hauteur des sauts des joueurs et des joueuses.

OMEGA proposera une technologie légèrement différente pour les épreuves de gymnastique, baptisée "Pose Detection". Ce système des plus perfectionnés enregistrera tous les mouvements des gymnastes et aidera les juges dans leur analyse.

© IOC / Greg Martin

Les dernières innovations d'OMEGA seront également présentes en sports équestres, avec l'utilisation d'une technologie spéciale pour suivre l'action et le recours à la détection laser pour indiquer les déplacements des chevaux. Des données seront ainsi recueillies sur la durée des sauts, la trajectoire et le parcours exact emprunté par chaque cavalier ou cavalière.

Aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020, OMEGA sera pour la 29e fois de son histoire chronométreur officiel ; la société sera ainsi présente à chaque seconde des 339 épreuves disputées dans 33 sports. Cette entreprise titanesque exigera 400 tonnes d'équipement, 530 chronométreurs et professionnels sur place, 900 volontaires dûment formés, 350 tableaux d'affichage sportif, 85 tableaux d'affichage public et près de 200 km de câbles et de fibre optique.

Les dispositifs de détection de mouvement et de positionnement avant-gardistes conçus par OMEGA pour Tokyo 2020 s'inscrivent dans le droit fil des innovations similaires qui ont marqué les précédentes éditions des Jeux Olympiques.

Citons par exemple l'introduction des plaques de touche aux Jeux Olympiques de 1968 à Mexico, qui permettent aux nageurs "d’arrêter la montre", ou encore le dispositif pour la détection des faux départs en athlétisme, utilisé pour la toute première fois aux Jeux Olympiques de 1984 à Los Angeles.

Pour rappel, en 2017, OMEGA a prolongé son partenariat olympique mondial avec le CIO jusqu'en 2032, année qui marquera le 100e anniversaire de la relation entre OMEGA et les Jeux Olympiques.