Omega : le retour

Après douze ans d’absence, mais tout de même une participation à 22 éditions des Jeux Olympiques, la prestigieuse marque suisse Omega est à nouveau le chronométreur officiel des Jeux Olympiques. Au cours d’une cérémonie qui a eu lieu au Musée Olympique, Jacques Rogge, président du CIO, s’est vu remettre une reproduction des chronographes Omega originaux utilisés pour le chronométrage de toutes les compétitions aux Jeux Olympiques de Los Angeles en 1932. Ce cadeau prestigieux rejoindra les collections du Musée.

Omega : le retour
© © 2012 / Comité International Olympique (CIO) / FURLONG, Christopher

Une longue amitié

Nick Hayek, président-directeur général du groupe Swatch, a rappelé la pérennité des liens qui unissent Swatch et le CIO : « Nous avons démontré notre engagement dans le sport par notre étroite relation avec le CIO dès 1932. La montre Omega 1932 est un rappel à la fois de cette relation historique et du rôle essentiel du chronométrage sportif aux Jeux Olympiques ».

Une découverte insolite à l’origine du projet

Stephen Urquhart, président d’Omega, a ensuite dévoilé l’histoire fascinante qui se cache derrière l’édition contemporaine du fameux chronographe Omega 1932 : la découverte fortuite de croquis et de pièces détachées de mouvements non assemblés gardés précieusement depuis cette époque dans les archives d’Omega. « La montre 1932 témoigne de l’engagement passé et présent d’Omega dans l’art et la science du chronométrage sportif » a-t-il notamment déclaré.

Un peu d’histoire

Le partenariat entre le CIO et Omega pour fournir du matériel de chronométrage précis et fiable a débuté en 1932 et s’est poursuivi pendant de longues années. Entre 1991 et 2004, ce fut le nom Swatch qui prit un temps le relais. Aux Jeux Olympiques d’hiver à Turin, en février prochain, les meilleurs athlètes mondiaux tourneront à nouveau leur regard vers Omega pour découvrir leurs résultats. Omega représentera également le groupe Swatch aux Jeux Olympiques de 2008 à Beijing et de 2010 à Vancouver.