1900 – 2024 : un long chemin vers la parite

S’il n’y avait pas de militantes, d’insolentes, d’ambitieuses, de surdouées, nous serions privés de la moitié du bonheur que nous procurent les plus belles émotions du sport. Parce que les femmes se sont battues pour avoir une place dans le monde du sport, leurs victoires n’en sont que plus belles. Combats passés mais aussi du présent et toujours d’avenir, tant ils sont encore d’actualité. Regardons leurs visages, découvrons leurs histoires, en plus d’un siècle elles ont bousculé le monde de la plus belle des façons et nous entrainent vers 2024, dernier pas vers une parité historique aux Jeux Olympiques.

UNE PREMIERE HISTORIQUE

Elles sont aujourd’hui nos modèles, adulées par des millions de personnes à travers les continents. Près de 100 ans plus tôt, elles n’auraient pas pu courir, nager, lancer ou jouer. A travers les Olympiades elles se sont battues pour ce droit d’être sous le feu des projecteurs, dans l’arène, à la place qui leur revient. Leur combat s’illustre par la proportion de femmes aux Jeux, trop longtemps marginale. Avec le temps et l’évolution des mentalités, l’équilibre s’est progressivement mis en place, pour enfin aboutir à la parité à Paris, en 2024 : 10 500 athlètes, autant de femmes que d’hommes. (source)

UN LONG PARCOURS

Le cheminement des femmes vers la parité aux Jeux Olympiques est un marathon. Bannies des arènes et des tribunes durant l’Antiquité, absentes des premiers Jeux de l’ère moderne en 1896, les premières participantes n’étaient que 22 aux JO de Paris en 1900, péniblement autorisées à concourir dans quelques épreuves. Histoire d’un combat vieux de 30 siècles avec ses batailles, ses victoires et ses héroïnes.

ELLES ONT OUVERT LA VOIE

Puissantes, influentes, solidaires, passionnées, ambitieuses

Ces femmes sont les combattantes de leur époque. Chacune de leur conquête a fait avancer le monde du sport et le monde tout court, en donnant aux femmes le droit d’exister, d’être visible, d’élever le niveau, de gagner. Le droit à la victoire au féminin est leur héritage, aujourd’hui encore nous leur disons merci, grâce à vous, nous avons toutes le droit d’en être.

DECOUVREZ AUSSI