L'Agenda olympique 2020 à mi-parcours
À mi-parcours de la mise en œuvre de l'Agenda olympique 2020, le Comité International Olympique (CIO) examine la portée considérable de cette feuille de route stratégique et passe en revue les profonds changements que cette dernière entraîne pour le CIO et pour l'ensemble du Mouvement olympique.
"Lorsque nous avons adopté cet Agenda, l'objectif principal était de renforcer le rôle du Mouvement olympique dans la société et dans notre monde en mutation", a déclaré le président du CIO, Thomas Bach. "Cette année, nous arrivons à mi-parcours. Étant donné que nous sommes une organisation sportive, nous pouvons dire que nous avons joué une très bonne première mi-temps. Être dans le monde du sport signifie aussi que mener au score à la mi-temps n'est pas suffisant. Le match se dénoue dans la deuxième mi-temps. Si nous voulons gagner, nous devons être aussi bons dans la deuxième mi-temps que dans la première."
Et de poursuivre : "Dans cette entreprise, nous sommes tous ensemble avec nos composantes et nos partenaires car l'Agenda olympique 2020 est un document qui concerne toutes nos parties prenantes."
En décembre 2014, la 127e Session du CIO réunie à Monaco a adopté à l’unanimité l’Agenda olympique 2020 – feuille de route stratégique pour l’avenir du Mouvement olympique – conçu pour sauvegarder le caractère unique des Jeux Olympiques et renforcer le rôle du sport dans la société.
Les 40 recommandations que renferme l'Agenda olympique 2020 sont centrées sur trois grands axes qui sont essentiels pour la capacité du sport à exercer un impact positif sur la société plus large : crédibilité, durabilité et jeunesse.
Aujourd'hui, près de trois ans après son adoption et à mi-parcours de sa mise en œuvre, l'Agenda olympique 2020 a eu de profondes répercussions sur le Mouvement olympique, et ce à tous égards, depuis la manière dont les villes hôtes potentielles présentent leur candidature à l’organisation des Jeux Olympiques jusqu’à la prise en considération de la durabilité dans toutes nos activités, tout en assurant que les actions du CIO et du Mouvement olympique sont motivées par les principes de la bonne gouvernance et de l’intégrité.